Eraserhead, de David Lynch évidemment, mais aussi Vampyr de Dreyer, La nuit du chasseur de Charles Laughton en terme de photo, on en oublie sûrement… Lynch a été clairement le plus important, mais aussi John Carpenter dont on apprécie l’économie de moyens. Et enfin un film de 1984 : Requiem pour un massacre de Helem Klimov, c’est l’histoire d’un orphelin biélorusse pendant la seconde guerre mondiale, un film avec des plans séquence incroyables, des éclairages très dépouillés, tournés caméra à l’épaule. Le personnage est, comme dans notre propre film, mis dans des positions réelles de danger, dans Requiem pour un massacre, le gamin se fait réellement tirer dessus et dans Le Rat, Marcel Fix (le vieux) se noie réellement dans l’étang, car il ne sait pas nager...

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