SYNOPSIS - Madame contre Monsieur : Madame" et "Monsieur" se sont aimés. Et puis on ne sait
comment, leur vie est devenu un enfer. Ils ont décidé de se séparer. "
Je garde l'enfant, a-t-elle dit, il est à moi ", " C'est le mien,
a-t-il répliqué, je le veux "... Le recours à la loi s'est imposé. Un
juge a délivré l'ordonnance provisoire qui les a envoyés ici, à Aadef Médiation,
un " lieu neutre " pour couples séparés au rez-de-chaussée d'une
tour. Ici s'exercera le " droit de visite " légal à l'enfant. Quand "Madame" et "Monsieur" arrivent,
ils sont perdus et ne parviennent même plus à se parler. Des médiateurs les
accueillent. Avec eux ils vont tenter de briser le mur d'incompréhension et
de haine qui les sépare."Madame" et "Monsieur", c'est
ainsi que les médiateurs désignent les parents qui viennent à Aadef. Les noms
de famille ne sont jamais prononcés.
SYNOPSIS -Ca ira mieux demain : Un événement minuscule et dérisoire, l'achat malencontreux d'un rouleau de
plastique, révèle les caractères et les comportements d'un petit groupe d'individus
pris dans le chaos de la société d'aujourd'hui. Cet événement et ses multiples
conséquences créent des brouilles et des remises en question, mais aussi des
liens.
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CA
SEVIRA MIEUX DEMAIN
La
vie.com, outre qu'elle entête son monde, parfumée qu'elle
est au merchandising coupé à la fleur d'anus, est contagieuse.
Son positivisme extraverti tape l'incruste dans tous les pores
socio-culturels, faisant à l'occasion feu de tout substrat.
Énième incubation de la e-gangrène : sphère cinématographique
régie par une inquiétantE inflation de la résignation fictive
qui, si personne ne tente de juguler cette endémie d'optimisme
fétide, pourrait bien faire jurisprudence : la salle obscure,
lieu d'ablation cérébrale ou succursale de Gap et Celio, non
merci. Dans un tel contexte, les contraires, règle d'or mathématique,
continuent de flirter ensemble : face au bêlant Ca ira
mieux demain de Jeanne Labrune, le belligérant docu Monsieur
contre Madame de Claudine Bories. L'un s'enfonce dans
les sables saoulants de la passivité BoBo, l'autre sculpte
une nouvelle forme d'engagement. Sans la langue.
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