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Bibliographie sélective

Abirached (C.).- Casanova ou la dissipation, Marseille : Titanic, 1996.
Bartolini (E.).- Le crépuscule de Casanova, Paris : Editions Desjonquères, 1995.
Casanova (J.).- Histoire de ma vie, Aylesbury : Laffont, 1993. 
Comencini (L.).- Enfance, vocation, expériences d’un cinéaste Edts Jaqueline Chambon, 2000. 
Gili (J.).- Le cinéma italien, Paris : 10 18, 1978.
Levergeois (B.).- Fellini, Paris : Editions de L’arsenal, 1994.
Mejaen (J. M.).- Fellini, un rêve, une vie, Paris : 1997.
Moliere.- Dom Juan ou le festin de pierre, Paris : Larousse ? 1984.
Pavis (P.).- L’analyse des spectacles, Paris : Nathan, 1996.
Zweig (S.).- Trois poètes de leur vie, Paris : Le Livre de Poche,  2003. 




1) Le réalisateur n’a pas filmé la mort de Casanova probablement pour ne pas porter atteinte à la dignité d’un homme qui, à la fin de sa vie, est vieilli et rongé par l’insatisfaction. Le mythe du séducteur reste ainsi préservé. Il y a une volonté de ne pas le démolir totalement même si la caricature affabule le récit cinématographique. 
2) Casanova (J.).- Histoire de ma vie, Aylesbury : Laffont, 1993, p. 382 ( volume 2 – chapitre VII). 
3) Selon Ovide dans les Métamorphoses, Narcisse est le fils du dieu fleuve Céphise et de la nymphe  Liriopé. Il se meurt d’amour pour son image reflétée à la surface de l’eau, voir les représentations du Caravage et de Poussin. Casanova est également ivre de sa propre image reflétée cette foi-ci à travers le regard des femmes.
4) Ibid., p. 5 ( volume 1 - préface). 
5) Pour des raisons pratiques et évidentes, les deux réalisateurs en adaptant l’autobiographie de Casanova n’ont conservé que les épisodes les plus marquants. Le texte original se compose de plus de 3700 pages in-folio. Il comporte de nombreuses pérégrinations complexes qu’une narration cinématographique n’aurait pas pu rendre le temps d’une projection. 
6) Zweig (S.).- Trois poètes de leur vie, Paris : Le Livre de Poche,  2003, p. 151. 
7) Ibid., p. 160.
8) Levergeois (B.).- Fellini, Paris : Editions de L’arsenal, 1994, p. 85.
9) Pavis (P.).- L’analyse des spectacles, Paris : Nathan, 1996, p. 118. 
10) Il existe chez Fellini un savant dosage entre le comique et le tragique qui rend l’univers filmique à la fois irréel et légèrement perverti, ce qui crée le pathos de l’exubérance.
11) Hormis les villes italiennes comme Bologne, Milan, Turin, Casanova séjourna à Paris, à Dresde et à Vienne. Il alla même jusqu’à Constantinople. Mais le berceau vénitien restera pour lui un lieu de jouissance où il se ressource constamment.
12) Dans ce film, le réalisateur parodie l’opéra baroque et flamboyant. La musique de Corelli et de Monteverdi accompagne l’histoire d’une nativité que Greenaway dénature en faisant un sacrilège sur une mise en scène « sur-esthétisée » et exubérante. Des plans généraux très lents trahissent la séduction plastique de l’égorgement, du viol et de la décadence sous l’égide de la dorure et de la soie rouge épiscopale. Véritable théâtralité qui se rapproche du Casanova fellinien. En effet, le baroque vénitien, aux couleurs froides teintées de bleu et de gris, donne à la cité lacustre une apparence morbide.    
13) Comencini (L.).- Enfance, vocation, expériences d’un cinéaste, Nîmes : Editions Jaqueline Chambon, 2000, p. 137. 
14) Bartolini (E.).- Le crépuscule de Casanova, Paris : Editions Desjonquères, 1995, p. 11.
15) Abirached (C.).- Casanova ou la dissipation, Marseille : Titanic, 1996, p. 10.
16) Ibid., p. 55.
17) Molière.- Dom Juan ou le festin de pierre, Paris : Larousse ( collection : Nouveaux Classiques), 1984, p. 32-33.
18) Ibid., p. 851 ( volume 4 – chapitre XI).
19) Ibid., p. 59.
20) Gili (J.).- Le cinéma italien, Paris : 10 18, 1978, p. 123.
21) Mejaen (J. M.).- Fellini, un rêve, une vie, Paris : 1997, p. 213.
22) Ibid., p. 61.