Annuaire boutique
Librairie Lis-Voir
PriceMinister
Amazon
Fnac

     



 

 

 

 

 

Soirée ACRIF (association des cinémas de recherche en Ile de France), à la découverte du cinéma documentaire africain (samedi 23)

En présence de Idrissou Mora Kpai, réalisateur, et de Jean Marie Teno, réalisateur et producteur, autour de leurs films Si-Gueriki, la Reine-mère sur le retour étonné de l’auteur au pays, et Le mariage d’Alex, chronique sur la polygamie.

Séances spéciales

Elsewhere de Nikolaus Geyrhalter : le réalisateur est parti chaque mois de l’année 2000 dans 12 régions du monde..

Des rencontres avec des hommes aux traditions et aux langues différentes. " L’ailleurs " est une question de point de vue.

(dimanche 17)

Le bruit, l’odeur et quelques étoiles… de Eric Pittard

Trois garçons, la République, une bavure policière, un pays où tout va bien tout va mal. Une œuvre chantée par Zebda, une histoire actuelle, une tragédie. Un film de cinéma pour dire et chanter comment on peut être français, vigilants, différents et bien ensemble. (mercredi 20 – séance du soir en présence de l’équipe du film –sous réserve-, et dimanche 24)

La photo déchirée, chronique d’une émigration clandestine, de José Vieira

L’odysée de milliers de portugais racontée par un de leurs enfants. Le film sera l’occasion de présenter le catalogue Errances-Voir&Agir : investigations, pamphlets ou manifestes, des films et des publications pour débattre. (vendredi 22)

Afriques, deux regards sur l’Afrique en mutation

avec Le prêt, la poule et l’œuf de Claude Mouriéras sur une jeune entreprise éthiopienne de micro finance et Maîtres et esclaves de Bernard Debord sur la complexité des rapports de la servitude. (dimanche 17)

Hommages

Jean Eustache (mardi 19)

Numéro Zéro, film entretien que Jean Eustache réalisa en 1971 avec sa grand-mère, qui connut une version tronquée pour la télévision et présenté ici tel que l’avait souhaité le cinéaste (2h), suivi de La peine perdue de Jean Eustache : portrait du grand cinéaste français disparu en 1980 par Angel Diez.

Glauber Rocha (jeudi 21)

Un cinéaste de l’avant garde artistique et politique des années 70 latino-américaines.

Rocha que voa, Eryk Rocha signe un film-essai sur le rôle des intellectuels en Amérique latine à travers la période cubaine de son père et retrace le débat qui a existé dans les années 70 sur le rôle des Arts dans la révolution politique et sociale dans les pays du Tiers-Monde.

Le dieu noir et le diable blond, une des œuvres les plus " pures " du cinéaste où mysticisme et lutte sociale se mêlent sur une note toute brésilienne à travers l’histoire mouvementée d’un couple de paysans : le bouvier Manuel et sa femme Rosa s'enfuient à la suite d'un conflit sanglant avec leur " coronel ". Le couple rejoint des mystiques autour du Noir Sebastião, qui prédit un apocalyptique retournement par lequel le sertão deviendra mer et la mer sertão. Un film phare du Cinéma Nôvo.