Courts métrages en compétition

Athènes Helsinki de Stéphane Allagnon
Calicot de V.Sarah Gurevick
Extimités de Bruno Freyssinet
Jetlag de Jean-Louis Crudenaire
La Boîte noire d’Angelo Cianci
La Gagne de Gilles Bergo
L’Impossible échappée de Stéphane Papet
Monsieur Hubert d’Antoine Le Bos
Nani de Sylvain Cappelletto et Paul Rodriguez
Par inadvertance de Rodolphe Viémont
Schenglet de Laurence Nègre
Scoub 2 de Stéphane Berla
Toux Therapy de Jean-Philippe Laraque
Je m’ennuie de Chloé Micout
Vidéo club de Stéphane Lambert
Mieux que rien de Julien Sulser
Les yeux de Nadia de Patrice Batman
Trouville de Marc Andréoni
Le bûcher d’hiver de David Lowe
La loi du love de Lars Blumers
Do you have the shine ? de Johan Thurfjell
La Compagnie des ombres de Christophe Perrier
Debout les frileux de la terre de Christophe Le Borgne


KINO

Qu'est-ce que Kino ?

- C'est un rassemblement d'artistes de la vidéo et du cinéma qui ont le désir impérieux de faire des oeuvres, coûte que coûte !

- C'est un lieu de liberté et d'échanges, un endroit où tous peuvent oeuvrer à leur art sans censure ou contraintes autres que matérielles.

- C'est l'occasion pour tous de s'auto-botter le cul avec vigueur et de jouir de l'effet d'entraînement que procure la dynamique de groupe.

- C'est l'opportunité de prouver qu'on peut faire bien avec rien et que la pauvreté des moyens n'exclut jamais la rigueur.

- Kino, c'est aussi un groupe mu par la solidarité et l'écoute mutuelle, pour aider chacun à évoluer dans sa démarche personnelle et la pousser au plus haut niveau de perfection et de raffinement.


Note importante : Les bandes présentées à KINO doivent être produite dans le cadre de KINO et être présentées pour la première fois à KINO. Le générique doit porter la mention KINO'0(x) correspondant à l'année en cours. Les films produits antérieurement à votre inscription ne sont pas éligibles.


L'HISTORIQUE

Par un mois de décembre pluvieux de 1998, Christian Laurence lance à des amis un défi colossal : produire chaque mois une bande vidéo originale. Défi lancé, défi relevé ! Le nom KINO est donné au projet, de la racine grecque pour « mouvement ». Dès 1999, KINO se projette dans tous les lieux possibles et impossibles : brasseries, tavernes, bain public désaffecté, aréna, salle de conférence high-tech ou encore à la belle étoile dans les Laurentides.

Un an plus tard, au mois de janvier 2000, la Cinémathèque québécoise est mise sens dessus dessous pour accueillir la Rétrospective KINO, véritable marathon audiovisuel (plus de 24 heures !) qui témoigne de l’indomptable créativité des « Kinoïtes ».

Pour amorcer l’an 2000, KINO redéfinit sa formule : exit le film par mois, les réalisateurs doivent maintenant se donner eux-mêmes une échéance de production et la respecter sous peine de subir un « blâme », une contrainte choisie par la foule.