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Nous partons avec le but
d’avancer sur deux fronts principaux, la recherche d’argent
(et oui nous y voilà…) et convaincre des comédiens connus
du grand public de nous suivre dans cette aventure. Il est
vrai que la participation de comédiens expérimentés me tient
à cœur pour ce 4ème court-métrage (et dernier avant
un long…). Nous élaborons donc des dossiers (environ une trentaine),
avec scénario, note d’intention, cv…. et postons le tout.
Premières réponses de certains comédiens, mi-septembre. Comme
quoi, les agents transmettent les dossiers même pour un court-métrage.
Certes ces réponses sont négatives, mais la voix « officielle »
fonctionne.
Novembre 2002, Oh surprise ! : réponse négative du CNC.
Allez, j’ouvre le débat : si quelqu’un connaît la formule
magique pour obtenir l’aide du CNC pour un court-métrage de
genre, je suis preneur ? De plus, impossible de déposer
un dossier pour l’aide à la musique originale, il faut déjà
avoir une bourse d’un CNC… Bizarre, vous avez dit bizarre,
j’ai dit bizarre. Comme les télévisions attendent l’accord
du CNC ou d’une région pour suivre, il nous faut donc trouver
une région, CQFD.
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Suite à mes recherches sur
l’Inquisition (pour la rédaction des séquences du procès),
je m’étais mis en tête de contacter un spécialiste de cette
période dans la volonté de faire relire et approuvé historiquement
le contenu du scénario. Je contacte donc, début décembre,
Laurent Albaret (Président du centre de valorisation du patrimoine
médiéval, historien et auteur), qui me répond très rapidement.
Il modifie alors dans ce but d’authenticité, certains passages
du script. C’est depuis un allié très présent.
Gros coup au moral en Janvier 2003, où un département (qui
commence par un L…) refuse de soutenir financièrement le projet
alors que nous avions l’accord d’une municipalité pour tourner
dans un splendide village moyenâgeux. Il va falloir trouver
un autre décor et d’autres financeurs. Que cela devient dur
de trouver des fonds pour faire un court-métrage !
C’est pourquoi, je rentre en contact, mi-février, avec la
Commission du film d’Auvergne (je connais bien cette région,
où ma famille réside). Reçu avec beaucoup de sympathie à la
Jetée (Bâtiment de la ville de Clermont consacré au court-métrage),
j’ai désormais un soutien local pour trouver des décors, figurants
et autres prestations. Les commissions du film sont vraiment
là pour mettre en valeur leur région et vous aident réellement !!
Par contre, la municipalité de Clermont ne finance plus de
courts, et ce, depuis un peu moins d’un an (on est pas heureux
sur ce coup-là !) les fonds sont accessibles uniquement
via la région Auvergne.
Début mai, je rencontre Annette Burgdorf, animatrice télé
(Union Libre, Arte info) à qui je propose d’interpréter une
jeune maman dans la 1ère séquence du film. Pour
mon plus grand plaisir, elle accepte avec enthousiasme cette
proposition.
Juillet 03 : à suivre...
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