Début décembre 2003, la réunion prévue
avec les enseignants (d’atelier audiovisuel, de théâtre et
d’histoire géographie) de la Haute Loire se déroule dans d’excellentes
conditions. Egalement présents, le conseiller éducation artistique
de la DRAC, le correspondant académique image et un représentant
du CDDP, participent activement à ce rendez vous. C’est dans
une très bonne ambiance et dans l’enthousiasme général que
nous élaborons les interventions futures. Sera organisée en
amont du tournage, dans plusieurs établissements scolaires,
une présentation du projet (scénario, production…). Ensuite
les élèves pourront venir assister (voir même participer pour
certains stagiaires) à la réalisation du film, sur le plateau
et en post-production.
De retour à Paris, Farid (le producteur)
organise un rendez-vous dans un café, avec Elodie Navarre.
Elodie restera une bonne heure avec nous (avant de partir
pour des répétitions), durant laquelle nous avons discutés
de nos parcours, nos envies et bien entendu de Sentence
Finale. Elodie me fait part de son entrain pour incarner
ce personnage plus introverti, plus mystérieux. En tournage
actuellement, nous avons convenu que je lui ferais parvenir
une liste de films à visionner avant de répéter.
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Quelques jours plus tard, naît l’idée
de trouver un coproducteur Québécois. En effet, mon dernier
court-métrage Blondine a plutôt bien marché là-bas
et un accord d’une production canadienne donnerait indiscutablement
une dimension internationale au projet. Nous lançons cette
piste… L’idée de faire un site dédié au film a également été
abordée.
Les jours passent et l’équipe technique se constitue (déjà)
: 1er assistant, Chef costumier, chef décorateur
sont déjà en action. Le chef costumier m’emmène dans un stock
de vêtements moyenâgeux. Là, je vois de très beaux vêtements,
qui sans être salis, ni même patinés, fonctionnent parfaitement
en l’état.
L’impatience de tourner me gagne de jour en jour…