La Gazette du doublage :
Sur le plan artistique que n’avez-vous pas encore essayé et
qui vous tenterait ? La direction ? Le chant ?
Martin Watier :
J'aimerais bien écrire éventuellement. La direction viendra,
mais pas tout de suite. Pour ce qui est du chant, je chante
déjà depuis bien des années...
La Gazette du doublage :
Aimeriez-vous travailler en
France et avec qui ?
Martin Watier :
J'aimerais faire du cinéma français ; c'est un grand
rêve. J'aime la tendresse de vos images, l'intelligence de
vos textes et la finesse de vos artistes. C'est d'ailleurs
un acteur de chez vous qui m'a inspiré à devenir acteur, alors
que je n'étais encore qu'un gamin : Louis de Funès. Ce
serait pour moi un immense honneur que de travailler un jour
avec messieurs Lhermitte, Depardieu, Auteuil, Reno, Besson,
Veber, Leconte et mesdames Deneuve et Binoche... Rien que
d'y penser je rêve de chez vous !
La Gazette du doublage :
Sur quoi avez-vous travaillé
récemment et sur quoi travaillez vous en ce moment ?
Martin Watier :
Je viens de terminer le tournage d'un feuilleton québécois
intitulé Annie et ses hommes. J'ai aussi terminé, il
y a quelques mois le doublage du film S.W.A.T. (SWAT, Unité
d’élite), dans lequel je doublais Colin Farrel. Je travaille
sur quelques séries de dessins animés cet automne et, après
une pause bien méritée, j'entamerai le doublage du dernier
épisode de La guerre des étoiles au printemps
2004.