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ATTENTION : ce film, et donc le concours, est interdit
au moins de 16 ans.
SYNOPSIS - FLESH :
New-York, Vingt-quatre heures de la vie de Joe, qui se prostitue
pour subvenir à ses besoins, à ceux de son enfant,
et de sa femme Géraldine, qu’il partage avec une autre femme,
Patti.
SYNOPSIS - TRASH :
Joe, un junkie, et Holly, sa copine, vivent dans un sous-sol
bourré d’objets que Holly ramasse dans les rues, comme les
êtres qui partagent leurs vies.
SYNOPSIS - HEAT :
Heat met en scène une galerie de marginaux autour de la piscine
du Tropicana Motel, à Hollywood. Joey Davis, ex-star d’une
série western télévisé, cherche à refaire surface comme chanteur
de rock. C’est là qu’il rencontre une actrice vieillissante,
qui propose de l’héberger dans sa grande villa…
Présentés en copies restaurées au Festival de Cannes 2002,
et réédités en Octobre dernier au cinéma, les 3 films cultes
de Paul Morrissey, produits par Andy Warhol, sont édités en
coffret DVD pour la 1ère fois en France (sortie le 16 Avril
2003). A cette occasion Carlotta Films et Objectif Cinéma
vous proposent de gagner 5 coffretscollector des films Flesh,
Trash et Heat de Paul Morrissey.
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... des films de Paul Morrissey avec la Fnac
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DVD BONUS DU COFFRET
L'éditions en
coffret collector numérotée est accompagnée de
nombreux bonus inédits rassemblés sur un DVD de
trois heures, qui explore les mouvements artistiques,
culturels et sociaux de cette époque : l’art
pictural avec Warhol et la Factory, la musique
avec le Velvet Underground, le cinéma expérimental
avec Jonas Mekas, l’Anthology Film Archive, la
mode à travers ses influences jusqu’à aujourd’hui.
Les bonus, inédits pour la plupart, accompagnés
de ces trois films, permettent de balayer le mouvement
de la Factory entre 1968 et 1972.
Paul Morrissey
: Interviews, images d’archive inédites, de
tournage, de la Factory et extraits de films a
propos de l’Avant Factory (jeune passionné
de cinéma, auteur de court underground), la Factory (les
années Warhol, le Velvet, …), Flesh (le début
des années d’indépendance) ainsi que l’après Factory.
Fashion Factory
: défilés et images d’archives sur la façon
dont la Factory inventa le look arty... La Trilogie
Morrissey ou « grandeur et décadence »
de la Factory. Interviews de Anna Sui, Marc Jacobs
(Louis Vuitton), Jean Touitou (APC), Olivier Saillard
(musée de la mode et du textile).
Le pape du cinéma
Underground :
Interview avec Jonas Mekas, réalisateur underground,
qui a révélé tous les cinéastes de ce mouvement,
critique au Village Voice, et directeur de l’Anthology
Film Archive de New-York (La Cinémathèque Underground)
ainsi qu’une rencontre entre Jonas Mekas et Paul
Morrissey.
L’Anthologie Film
Archive :
Les coulisses de ce lieu mythique grâce à
une visite guidée par Jonas Mekas et Paul Morrissey
L’héritier - L’influence :
Interviews d’Harmony Korine, cinéaste influencé
par ce cinéma Underground NY, la référence selon
Jonas Mekas.
Courts-métrages :
Les premiers courts inédits de Paul Morrissey,
accompagnés de d’autres court-métrages underground,
comme ceux de Jonas Mekas.
Velvet Underground
: La musique factory et le Exploting Plastic
Inevitable, premier concert du Velvet Underground,
sur fond de films et images de Warhol et de lumières
psychédéliques, mais avec aussi la « fameuse »
danse du fouet de Gérard Malanga, Ingrid Superstar,
Edie Sedgwick...
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Flesh de Paul Morissey
Avec Joe Dallesandro, Geraldine Smith, Jackie
Curtis, Candy Darling, Patti d’Arbanville
Qu’importe la qualité douteuse de l’image,
le gonflage du 16mm …ce qui compte, c’est que
les gens filmés, eux, soient beaux. Beaux, c’est-à-dire
fascinants – et la monstruosité, l’excentricité
peuvent fasciner, ainsi que tout ce qui sort de
l’ordinaire. Beauté des marginaux pour la seule
raison qu’ils vivent en marge. La beauté de Dallesandro
est encore accrue par l’existence qu’il mène …Et
voilà qu’apparaît, à la faveur de cette exploration
vagabonde, le visage d’une certaine Amérique.
L’Amérique d’un New York marginal.
Jean - Louis BORY dans Le Nouvel Observateur,
Janvier 1968
Bonus du DVD Flesh :
40 mn de bonus dont 1 Scène coupée proposé
avec ou sans commentaires audio de Paul Morrissey,
le Clip Joe Dallesandro, les débuts
de Paul Morrissey avec le court-métrage All
Aboard The Dreamland Choo-Choo (1965) ainsi
que le film Flesh resitué dans son contexte
culturel, social et politique de 1968.
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Trash de Paul Morissey
Durée : 110 min - 1970
Avec Joe Dallesandro, Holly Woodlawn, Jane Forth,
Andrea Feldman
Le réalisme du film détruit le mythe selon lequel
la drogue est censée libérer les gens de leurs
inhibitions. Morrissey entendait briser le
romantisme de la drogue telle qu’elle s’exprime
dans Easy Rider ou la perception
du « trip » humain exprimé dans 2001, l’Odyssée
de l’Espace. « L’idée de base du film » dit-il,
« c’est qu’il n’y a guère de différence entre
les drogués et les choses qu’on jette aux ordures.
»
Maurice Yakowar dans The Films of Paul
Morrissey
Bonus du DVD Trash :
40 mn de bonus dont, 2 scènes coupées proposé
avec ou sans commentaires audio de Paul Morrissey,
le Clip Trilogy Girls, les débuts
de Paul Morrissey avec le court-métrage Like
Sleep (1964) ainsi que le film Trash
resitué dans son contexte culturel, social et
politique de 1970.
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Heat de Paul Morissey
Durée : 102 min - 1972
Avec Joe Dallesandro, Sylvia Miles, Andrea Feldman,
Pat Ast
C’est la plus belle surprise de ce Festival
de Cannes. Il prouve que Paul Morrissey est un
des grands réalisateurs du cinéma mondial. […]
Heat est en quelque sorte un remake « underground
» de Sunset Boulevard avec, comme superstar Joe
Dallessandro, ex-star ado d’une série western,(
William Holden mâtiné de Little Beaver), vivant
dans un motel minable d’Hollywood et Sylvia Miles
(une Gloria Swanson mâtinée de Lana Turner ) qui
le happe comme un papier tue-mouches… [C’est]
le film le plus important parmi ceux qui aient
jamais émergé du courant « underground ».
Rex Reed dans The Daily News, Mai 1972
Bonus du DVD Heat : 40
mn de bonus dont , 2 Scènes coupées (avec
ou sans commentaires audio de Paul Morrissey),
le Clip Paul Morrissey, Les débuts de Paul Morrissey
avec le court-métrage The Origin Of
Captain America (1964) ainsi que le film Heat
resitué dans son contexte culturel, social et
politique de 1970.
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